Sept idées reçues sur la voix féminine
Prune Quellien
2. Les femmes : voix de tête, les hommes : voix de poitrine « L'égalité des sexes passe par le larynx », écrivait L'Express en 2004 dans l'article « Le pouvoir de la voix ». Les hommes comme les femmes disposent autant l'un que l'autre de deux mécanismes principaux : la voix de poitrine et la voix de tête. Techniquement, ils ont les mêmes possibilités. Or, selon Dominique Moaty, un préjugé persiste :
« Dans le chant lyrique occidental, on a décrété que les hommes sont en voix de poitrine et les femmes en voix de tête, alors que tous les humains disposent de ces deux mécanismes invariablement. Pourquoi, hors du chant populaire, y a-t-il des sopranistes, mais pas de femmes ténors ?
Je me rappelle cette fille de 15 ans déclarant que son plus beau compliment reçu était… qu'elle avait une voix de garçon. »
Josephine Hoegaerts reprend :
« Quand le castrat disparaît de la scène dans la première moitié du siècle, et que le ténor devient le pendant romantique de la soprano, les différences entre voix d'homme et de femme sont de plus en plus exprimées. La voix de poitrine devient alors un signe de masculinité. »
V.S. Gaudio
Il 9 al secondo posto, che è nascosto sotto un letto, ed è la carica connotativa così bassa o addirittura nulla nella voce femminile, nell’ uomo è qui che, per questo motivo, nell’uomo nasce dal petto; prima il 6 del codice ristretto è la voce di testa della donna che prima avanza e poi si ritira: significa che così lei con quella sua voce sta andando dentro.
Con una lieve mutazione del trigramma inferiore, se all’uomo il vento viene commutato in cielo, allora il 9 al secondo posto che lo riguarda è quello dell’esagramma 9.Hsiao Ch’u, la forza dominatrice piccola:
[La tavola dell’esagramma è in orizzontale: perciò la linea sopra, la sesta, è la prima a sinistra; la pirma linea è la prima a destra]
La sua voce si lascia indurre a ritornare tanto che non si perde neppure un po’; invece, la voce femminile è così in falsetto perché è trattenuta dalla linea intera al quarto posto, quella della polisemia, o, se vogliamo, dell’ambiguità, l’angoscia sembra che avanzi come il vento.