Sept idées reçues sur la voix féminine
7.Une voix de femme se reconnaît tout de suite
Plus aiguë, plus soufflée, la voix féminine serait audible au tympan nu. A écouter les interventions de ces chercheurs, je me suis moi-même demandée : « Et moi, j'ai quelle voix ? Plutôt fille ou plutôt garçon ? »
C'est là que Lucie Bargel (Ermes, université de Nice-Sophia-Antipolis) a braqué sa lampe-torche :
« Le test ultime pour savoir si une voix est féminine ou masculine, c'est quand on est au téléphone et que quelqu'un vous dit “ monsieur ” ou “ madame ”. »
Si la personne au bout du (sans) fil s'interroge quant à votre genre, vous pouvez lui rétorquer : « Devinette ! Ma voix correspond à l'alignement des signaux corporels genrés ; qui suis-je ? » A moins qu'il (ou elle) ne vous appelle « mademoiselle », mais là il faut s'adresser à Roselyne Bachelot.
Cerise sur la glotte, puisque la voix n'a pas de genre, voilà une application intéressante pour la vie quotidienne : la prochaine fois que vous décrocherez votre téléphone le matin en émettant un « allô ? » d'une voix d'outre-tombe, il vous suffira d'anticiper par un :
« Non, je n“ai pas fait d'excès hier, j'ai choisi de me rebeller vocalement car je refuse d'être catégorisée dans un genre ou un autre. Nuance. ”
En espérant qu'on ne vous demandera pas si vous avez bien pris vos hormones.
V.S. Gaudio
Une voix de guerrière sans-hache ?
Più acuta ha sempre il codice ristretto e la prima linea è spezzata ; la carica connotativa è su buoni livelli e la linea è intera ; la pregnanza è buona e la linea intera ; ma s’alza l’ambiguità e la linea al quarto posto si spezza ; la complessità non è sufficientemente espressa e la linea si fa intera; infine il Nove sopra dell’iconicità, tanto che l’esagramma è questo:
Tutto ritorna come prima: vento che soffia sopra il vento che soffia sotto il vento. E’ la gentile penetrazione, 57.Sunn. Che non ha genere, perché è gentile ed è femme, perché penetra ed è homme. Nell’avanzare e ne cedere, la volontà è in dubbio, c’è la perseveranza d’un guerriero, o d’una guerriera, penetra sotto il letto per la carica connotativa, che è il Nove al secondo posto, penetra sotto il letto per l’iconicità che è il Nove sopra. Ma perde il suo possesso e la sua ascia. E allora la donna, la sua voce è quella d’un guerriero, d’una guerriera, che penetra sotto il letto e perde la sua ascia?
Guerrière sans-hache?
Guêpière qui cache?